14 décembre 2011
Exil
Ô ferveur ! Ô joie qu'aucune ombre ne ternit et que nul soleil ne brûle et ne dessèche ! Ô nuit des bois sereins qu'aucun souffle ne hante et que nulle bête n'épouvante ! Toi le paria dans ce décor qu'aucune lumière n'accuse et que nulle fosse ne désigne...